Les résultats du premier tour des législatives étaient évidents. Le futur premier ministre préparait son maroquin, pourtant très contesté par les adversaires.

Les français en ont décidé autrement. Comme toujours, les politiques expliquent l’inexplicable et récupèrent. Au premier tour, on votait contre. Au second tour, toujours contre, mais en changeant de contre. Il faudrait un troisième tour !

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Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent.
Certes, mais quelques électeurs n’écoutent pas. Ils se contentent de relire les promesses faites, répétées, réaffirmées, et plus … Et ils sont en droit de s’étonner !